La dernière tribu d’Eliette Abécassis. Le livre de Poche. 💛💛

La Dernière tribu par Abecassis

La dernière tribu d’Eliette Abécassis est le troisième ouvrage d’une trilogie commencé par Qumran et poursuivi par le trésor du temple. Cette trilogie a été écrite entre 1996 et 2006.
Ce troisième tome peut être lu indépendamment des deux premiers tomes.
Nous retrouvons des personnages communs à l’ensemble de la trilogie : Ari Cohen , Jane agent de la CIA.
L’ensemble de cette trilogie est faite d’imagination , de références culturelles, religieuses et de quêtes mystiques sans oublier une bonne dose de thriller.
Le troisième tome est bien dans cette veine.
Le corps d’un homme assassiné il y a 2 000 ans au Tibet est retrouvé au Japon. Il tient dans sa main un manuscrit provenant de Qumran.
Ari Cohen est envoyé au Japon pour résoudre cette énigme.
Au cours de ces recherches, Ary Cohen va découvrir des similitudes entre la religion juive et la religion shintoïste.
Le roman est dument documenté. Qu’il s’agisse des douze tribus d’Israël , du bouddhisme avec Siddhârta devenant Bouddha ou encore les détails des temples shintoïstes ou des célébrations s’y déroulant.
Nous voyageons du Japon, au Népal, Tibet et Inde.
La lecture n’est pas désagréable et pourtant cela ne décolle pas.
Cela est il du à la thèse de la similitude entre religion juive et shintoïste. Thèse qui a été battue en brèche et abandonnée. Cette thèse qui a été propagée à la fin du 19ème siècle par des Européens entrautres validant par cette similitude , l’exil des tribus d’Israël en Asie et le poids de la religion juive dans le Shintoïsme.
Cela est il du au coté thriller qui a beaucoup de mal a prendre forme. tout est traité rapidement . On n’est pas facilement Dan Brown ou Jean Christophe Grangé.
Cela est il du au coté fort documenté du roman.
En définitif un roman mystico-religieux flirtant avec le complotisme qui ne restera pas dans la mémoire bien que grâce à lui , je me sois renseigné sur cette similitude entre religion juive et shintoïste

Eliette Abécassis : "Le divorce toujours une guerre"

ELIETTE ABECASSIS

Éliette Abécassis naît à Strasbourg au sein d’une famille juive orthodoxe marocaine très pratiquante. Son enfance est imprégnée par le quotidien de la communauté juive strasbourgeoise. Son père, Armand Abécassis, enseigne la philosophie et est un penseur renommé du judaïsme dont la pensée a imprégné l’interprétation talmudique strabourgeoise. Il a notamment joué un rôle considérable dans la création et l’enseignement de l’école Aquiba de Strasbourg. Sa mère, Janine, est professeur et spécialiste de psychologie de l’enfant et du développement3,4. Dans plusieurs romans à portée autobiographique, Éliette Abécassis déclare avoir été très influencée par le milieu et l’éducation religieuse sépharades, mais avoir également parfois été étouffée par elle et tentée de s’en émanciper à de nombreuses reprises, surtout au cours de sa jeunesse. Elle déclare son attachement à l’universalisme français.

Après le baccalauréat, elle quitte à 17 ans Strasbourg pour aller suivre à Paris des études en classes préparatoires littéraires — hypokhâgne et khâgne — au lycée Henri-IV3. Elle intègre par la suite l’École normale supérieure de la rue d’Ulm, où elle obtient l’agrégation de philosophie, et enseigne ensuite la philosophie à l’université de Caen3. « Je n’étais pas beaucoup plus âgée que mes élèves. Ils étaient très bons, tous passionnés par la philosophie, qui ne débouche pourtant sur rien d’autre que sur elle-même3. »

À 23 ans, elle part un an aux États-Unis à l’université Harvard, grâce à une bourse d’étude. Elle écrit alors son premier livre, Qumran, un roman policier métaphysique qui traite de meurtres mystérieux liés à la disparition des manuscrits récemment découverts de la mer Morte3.

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