
J’ai retrouvĂ© dans le livre d’Elisabeth Quin La nuit se lĂšve, la journaliste qui anime 28 minutes sur Arte. Les cĂŽtĂ©s positifs comme les cĂŽtĂ©s nĂ©gatifs.
En tant que journaliste elle fait preuve d’une Ă©lĂ©gance, d’une culture, d’une neutralitĂ© qui sied globalement Ă l’explication factuelle de l’actualitĂ©. C’est propre,c’est clair, c’est toujours de bonne compagnie.
Ăvidemment que l’on retrouve tout cela dans le livre d’Elisabeth Quint.
Et c’est lĂ que le bĂąt blesse et que les cĂŽtĂ©s nĂ©gatifs d’Elisabeth Quint ressortent.
Pour parler de sa maladie et de son glaucome qui peu Ă peu la rend aveugle, elle reste dans le factuel, la comparaison avec des Ă©crivains, des personnages cĂ©lĂšbres qui ont connu la mĂȘme maladie.
Toujours cette pudeur et cette neutralité.
Elisabeth Quint ne rĂ©ussit pas ( ou n’as pas pu ou voulu) Ă briser l’armure.
La dĂ©marche d’Elisabeth Quint est respectable mais sans se dĂ©voiler plus, ce livre perd beaucoup de son intĂ©rĂȘt