L’Oeil Ă©tait dans l »arbre… de Michel Picard. Edition de L’Harmattan. 💛💛

L'oeil était dans l'arbre
 et regardait de drÎles d'oiseaux par Picard (II)

D’abord merci aux Éditions de l’Harmattan  de m’avoir transmis l’ebook  du livre de Michel Picard : L’oeil Ă©tait dans l’arbre.
J’ai vu que ce roman avait une douzaine de critiques sur Babelio et qu’une seule Ă©tait nĂ©gative.
Et bien je vais rajouter un deuxiÚme avis négatif.
Je ne suis pas adepte de ce genre de littérature,  gore , glaçante et volontairement violente.
Cette littĂ©rature ne m’apporte aucun plaisir de lecture.
Cela ne suffit pas pour donner un avis nĂ©gatif.  C’est un style de littĂ©rature auquel je n’adhĂšre pas mais ce n’est pas pour cela que le roman ne serait pas bon.
J’ai lu la totalitĂ© du roman   et malheureusement je n’ai pas trouvĂ© que le roman soit bon.
Le roman se passe sur 2 jours : le jour d’avant et le jour d’aprĂšs.
Il commence d’ailleurs par le jour d’aprĂšs.
Adrien 18 ans va enterrer un cadavre dans la forĂȘt .
On en saura pas beaucoup plus. Pour en savoir plus il faudra dĂ©couvrir le jour d’avant.
Et ce jour d’avant est une accumulation d’Ă©vĂ©nements,  de personnages  qui rendent peu crĂ©dible l’histoire.
Il se passe tellement de choses en une demi journĂ©e que cela en donne le tournis. Une accumulation de rĂ©vĂ©lations  et d’Ă©vĂ©nements plus irrĂ©alistes les uns que les autres. A cette accumulation s’ajoute la violence, la perversitĂ©.
La lecture devient hachée.
Comment est il possible en une demi journĂ©e qu’autant de personnages venant d’horizon si diffĂ©rents se rencontrent.
Cela donne un roman touffu et pour lequel on ne s’accroche à  aucun personnage.
 Savoir qui est le cadavre dans la forĂȘt reste en dĂ©finitif secondaire  alors que c’est la raison de connaĂźtre le jour d’avant.
Cette overdose d’Ă©vĂ©nements,  de violence, de perversité  prennent le pas sur la totalitĂ© du roman et le vide de toute substance.

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